weee tout est commun le paradis est par ici, pas l'temps d’rêver pense a l'opprimé.e.s anarchie jte souhaite de beaux rêves vu la réalité qu'est faite de ténèbres et de calamites cadavre exquis d'inegalités qui viennent t'agripper j'veux pas participer partir ailleurs mais ailleurs cest pareil partout on meurs m'ont souffle les abeilles on te vole tes efforts contre de mauvais paye et t'auras toujours tort si tu n'as pas d'oseille réveiller l'rêve we réveiller la vie lutter sans trêve oui construire son maquis jles vole j'en profite est ce des biens mal acquis ? la police c'est poli donc vive les malappris ce monde a change depuis que tu pense qu'on peut pas le changer je viens m'épancher comme les larmes et le sang même les rêves il parait qu'on les vend tu t'envoie des fleurs j't'envoie des chrysanthèmes j'ecris sans thème comme un surréaliste j'écris sans peine mais sur des notes tristes jte souhaite de beaux rêves parce que moi j'en fais plus balance et glaive dans les mains des lardus lardus qui tue aux ordres des élus élus qui suent pour des bourgeois repus je le dit on le vit et c'est tellement banal toutes ces couleuvres qu'ils voudraient qu'on avale en amont en aval des cordons de trou d'balles aux couleurs capital et en casque intégral aveugle et sourd et même muet we a part pour tous les hue tu fais de beaux rêves mais le réveil est dur comment faire sans sommeil pour que dure le rêve? des rêves en plastique we de plastique de rêve de villas de voitures et de comptes a Genève être ou avoir oh la vie est si brève !

leurs histoires sont décomposées, manque vla des bouts fils de brute font exprès m'inspirent vla le dégout fils de brute leur vision de l’humanité est limité centre sur eux leur communauté a l’immunité sérieux le pouvoir de piétiner invisibiliser les nôtres en toute impunité comme tant d'autres pas le droit d'jouer avec la dignité vote! a l’unanimité envie d'quitter leurs placards leurs trous leurs cites? font croire qu'faut le mériter bobards de barbares sont partout y en a qu'pour leur visibilité rendent fou avec leur rentabilité font que piller et argumenter sur leur supériorité ils aiment s'appeler expatries et nous appeler immigres binarité irritante héritée déroutante la lumière de l’écran nous a tous fait ombrage j'vais ouvrir un livre et puis tourner la page a la télé dans les journaux on est invisible les policiers et les fachos nous ont pris pour cible donc on construit nos propre réseaux on leur fait des dribbles c'est pas parce que tu regarde de haut que tes invincible maintenant qu'je sais que je n'suis rien rien rien rien rien rien a faire j'veux la vivre bien ma vie d'terrien bien bien bien mais les roussins resserrent leurs liens et c'est la lutte pour les défaire chair a prison chair a patron du paradis vois ton l'enfer j'suis l’homme invisible j'ai enlevé mes bandages ça t’immobilise on dirait du bondage la répression qui te crie sois bien sage en mur invisible elle te construit une cage ah j'ai vu des visages we qui s'dévisagent derrière des masques a gaz vive la mascarade et acab c’est la base sur les ondes et les murs je crache et j’éructe et je murmure si la vie est dur la luxure l'adoucit j't'ai vu dans la ur si loin de ton peucli le viol une culture que leur rap nourri il y a dans ces bouches des cadavres tout pourris mais de qui parle t'il ça les rend parano message subliminaux qui tombe dans nos cerveaux mais j'suis pour pietro bruzzi pas savastano c'est cheum c'qui mettent en scène en france genre halloween plutôt fêter la chomsky comme mortensen urgence leur police assassine et mitonne sur les faits sans respect restez en paix défendu les guerres continuent connues ou pas connues ils aiment s'appeler touristes et nous appeler terroristes ils aiment quand on prend tous les risques qu'on dépende de leur liste moins visible qu'eux j’entends fait la queue y a qu'deux files j'suis bloque entre barbare ou laquais

aucun coffre fort suivra mon corbillard que le croque mort et que des coquillards au mitard en cellule au boulot au chomdu c'est clair et net on nous vole notre du de bastille a repu de repu a nation la réaction encadre nos passions la coupe est pleine on la fait déborder des humains déporté donc je suis révolté trop de gens béton pour des bouts de laiton we brulez l'herbe on brulera le béton qui c'est qua raison qui a droit de parler qui loue sa maison qui possède un palais qui joue au stratège et puis qui joue sa vie? qui change d'avis comme on change d'habit? on a qu'une vie s'agit pas d'la réfoi c'est pour ça qu'tu ma jamais vu dans ta résoi, on a qu'une vie s'agit pas d'la réfoi c'est pour ça qu'tu m'verras jamais dans ta résoi des mondains bon teint s'distribuent des bons points sourire en coin moi j'allume mon joint la joie et l'amour je suis venu chercher y a que les vitrines qu'ils mont laisse lécher j'regarde mon corps est ce de la marchandise les porcs nous dévore comme des friandises partout ça survie et partout ça opprime dis moi quel crime contient tout les autres crimes c'est pas ton genar qui va t'faire des câlins poignée de dollar ne vaut pas poignée d’main chaque centime s'rait le prix d’un instant qu'il faudrait dépenser pour se sentir vivant bloque dans le temps nous sommes tous des cizif tout les moments m’apparaissent décisif si dieu pardonne les humains c'est moins sur fais pas le méchant tu te trompe de pointure timite des mimiques qui t’ont mise a l’amende que de dimminik pour une image a vendre tendre l’autre joue a toute leur félonie plutôt les pendre comme des mussolini contre ce qui opprime pour ce qui émancipe t’entend des rimes mais moi j'y met mes tripes la vie j'm'y accroche comme le lierre a la pierre faut pas que demain ça ressemble a hier compte pas sur eux eux ils comptent tes thunes donc pour eux toi tu compte pour des prunes

la saison commence le maitre fait l'appel fin des vacances retour au réel on est parées pour l'affrontement soudées on fonce fièrement hiver été automne printemps rentrée des casses continuellement même traquées jamais on s'rend matraquées la gueule en sang rentrée des casses eh ouais on s'venge a coups de casques a coups de planche rentrée des classes k-way dans le cartable classe contre classe on joue cartes sur table we gare au gaz et sa vallée de larme bloquées dans la nasse menacées par leurs armes allez lance ta grenade t’étonnes pas des mortiers tu vas prendre pour ton grade et puis pas qu'a moitie la manif s’énerve a gorge déployée aucun street medic ne viendra te soigner tout l'monde te déteste ouais t'as bien entendu parce que tu oppresses et que tu t'es vendu rentres des casses a l’école buissonnière derrière le masque une foule solidaire qui s’apprête a faire face aux violences policières l'état tabasse on le laissera pas faire guerre de classe dispositif disciplinaire coercitif des individues en action collective repeignent ta rue pille ce dont on les prive blocage des flux la manif est sauvage le système tue donc vive le sabotage on a serre les dents accumule la rage sèmes le vent tu récoltes l'orage des chants de révolte résonnent a tes fenêtres maintenant tu regrettes Que ce soit toi le maitre et tu nous appelle pour la rentrée des classes mais nous on s’ramène pour la rentrée des casses rentrée des casses le maitre nous appelle pour la rentrée des classes mais nous on s’ramène pour la rentrée des casses rentrée des casses parées pour l’affrontement on mange du gaz ils mangent nos casques c'est l'automne ça sent la partie de pêche en sologne écoute on entonne les chants des black blocs de cologne darons, daronnes offrez pour la rentrée des gomm-cogne quand l’état claironne qu'il avance sans entendre nos grognes si ça détonne quand le deux ton résonne si ça t’étonne que tes tétons frissonnent c'est que les formes de lutte qu'on ambitionne pètent les normes comme on pète des cônes rentrée des classes tout le monde est deter ça tient jusqu'en mars, piège a necker media de masse dit trop de la deumer rentree des casses cortège est solidaire cacher sa face du champ d'vue des g.r. gaffe aux coups d'crasse ça arrive de derrière planque dans la nasse en mode street reporter trop neuves les adidas du commissaire des bris de glace quand la classe ouvrière débride efface ses liens et ses ornières la populace est révolutionnaire vos lois nous menacent résistons, pluie de pierres

dieu est injuste dieu est cruel il a piégé l’éden et préféré abel dieu est injuste dieu est cruel il voit ta peine et dédaigne tes appels toujours mieux a deux qua un sauf sauf si t jaloux comme caïn hein hein ils s'prennent pour grand méchant loup j'me sens si petit we comme les étoiles dans le ciel depuis tout petit ye j'veux qu'la vie ait l'gout du miel j'vois tout ces trous d'balles we lui donner le gout dla merde oblige d'me dire ye qu'c'est pas les bonnes balles qui s'perdent dieu est méchant donc son monde lest aussi dieu est absent et sen branle de ta vie donc satan la prend la vend pour son profit we autant que ta volonté s'atrophie j'voulais sonic et la saturne mais saturne me dévorait maintenant j'danse sous la pleine lune et j'fornique dans la foret y a qu'la monnaie qui nous separe we que l’pouvoir qui nous égare j’rêve qu'on squatte tout leurs châteaux pilon d'aya we j’suis faya ils veulent ma tête sur un plateau pas pour rien qu'j'm'appelle yaya ayayayayaya tout mon amour pour la raïa je ressens l'appel des arbres dans tout mon corps de ptit primate la main crispée sur le sabre j’défends mon sort comme un pirate c'est si chouette j'vis plus qu'en meute cherche ta silhouette dans une émeute toutes ces girouettes se contredisent j’ris comme une mouette dans une église tête de mort coutoentrelesdents j'me met a nu we façon adamite mangez vos morts votre monde est violent l’indépendance nait de la dynamite

plus d'espoir(inutile) plus d'espoir(inutile) drapeau noir(flotte) drapeau noir(flotte) crapaud bave yeh (moi je chante we) j'fume mon zdar we (fu fu fu) drapeau noir j'roule l’épice d'arrakis face a l'univers assis sur le trône d’où chuta lucifer a chaque épaule tas des anges maudits qui t’chuchote et crie va chercher le profit chuchote et crie va chercher le profit chercher le profit chercher le profit chercher le profit pour payer le produit payer le produit profiter de la vie mort au pouvoir ces détenteurs yeah leur bon vouloir c’est que l'on meurs we j'fume des cafards passe les heures peur que la caf annule les euros pas de travail we ça rend malheureux pas de travail we ça tue a p'tit feu heureux j’roule des joints généreux yeah du teuteu de la beuh j'veux les deux we pose sur la touche rien a foutre du match tout est truque en moins bien que le catch j'les vois sombrer sous les coups de cravache et se montrer j'me demande ce que ça cache ?bord de la nasse crs qui me touche vitre qui casse gout de gaz dans la bouche j’vois dans les chairs s'imprimer tout les masques des grades fantoche de la guerre de classe guerre de classes luttes de classes

le labyrinthe s’étend a perte de vue on tourne en rond ils ont bouche toutes les issues ils nous restent plus qua défoncer les murs la ville s’agite en proie aux flammes dans les cendres les cadavres s’entassent les sirènes sonnent l’alarme résonnent sur toutes les places la foule panique l’élite s’inquiète une menace invisible se propage et personne ne l’arrête chaque seconde se compte au chronomètre chaque geste creuse ta tombe une ombre plane sur ta tête les vautours ne se trompent pas la faucheuse te suit a la trace marche dans chacun de tes pas mec qu'est ce tu crois? la bête laisse sa marque ces disciples se suivent sur les boulevards mène leur barque mate les malades mordent a l’appât du gain participe a la mascarade quant le spectacle bat son plein la machine active ses mécanismes arrache la chair fraiche de ses victimes et l'affiche dans ses vitrines le diable fait ses comptes additionne ses chiffres et tu t'demande encore a qui profite le crime j’immole des icônes qu'on rigole en enfer yeah abattre les idoles moi j'vois rien d’autre a faire rien d'autre faire que la guerre a la guerre tu veux la paix il faudra bien la faire cerbère minotaure tire des miradors et gaze les corridors les corps se cognent s’écoulent dans les couloirs dérive docile détale dans le dédale des portiques antiques des portes identiques nos pierres escortent tes régiments de flics j'suis coince au fond dune pyramide antique we a tourne en rond bourrique dans la boutique ta pas d’empathie devine qui en pâtit? le labyrinthe sait fabriquer l'apathie encaisse les agios compte le carbure que les cafards lui donnent sh nellio on fissure ses murs gloire aux capharnaüm

pluie de grenades mais la foule ne fuit pas sors le sérum les k-way les foulard hein qui est qui camouflé couleur noire? l’avenue si grande est devenue un couloir et l'nuage s’épaissit frotte la gorge comme toile émeri t’inquiète qu'ils y mettent le prix pour pas qu'on aime et pas qu'on rit leur système c'est que d'la merde dis moi pourquoi j'essuierais? tout s’qu’ils gagnent ils nous l'font perdre dis moi pourquoi je jouerais j'vois les centrales que l'fleuve hydrate we elles le rendent radioactif j’mets les voiles en bateau pirate j'pirate les ondes comme radio alice ils nous chassent pour la fourrure on s'fait plumer laisser a poil pour qu'ils se paient d'l'a haute couture en cas dcoup dur mais qui sera al? capital est cannibale comme hannibal dans sa spirale fourmi cigale nourrisse mygale we capital est inégal les animaux les plus dociles ont ils vraiment été dompte j'ai une chaine sur le nombril qui m'dit l'argent faut le compter ils comptent en tonnes et toi en kil tu viens te la raconter partout c'est la guerre civile et même soi même faut s’affronter

j'ai pas le temps y en a que quatre quatre cavaliers qui viennent se battre partout des prix j'en ai ma claque pas de déprime merci les cracks fume fume le temps passe et s'envole 500 euros tu croie qu'on vit sans vol? donc pour la paix j’ai l’épée et l'armure we pour l'esprit j'ai la littérature tout est confus c'est le brouillard humain et j'me méfie quand on me tend la main we j'me méfie car tout les ventres ont faim et pense a eux du début a la fin yah yah qu'est ce qui vont faire? mettre des couteaux dans le dos de leurs frères yah yah tout s'qu'ils savent faire penser au cash et aux vaches qu'ils vont traire we ced ne parle que d'ça galon bras long raf de ça chef ou patron on veut pas d’ça nous c la d on vit que d’ça ici cayenne toi c'est vichy vue aérienne mais j'suis avachi piquer une tête dans ta fidji veni vidi raf vici 1 3 1 2 f les bleus si si seul ou a deux vive le feu si si tout les jours aqua shit et beuh si si si j'pense a moi j'pense a eux oui oui ca vient d'en bas pour te faire redescendre j’traine en sandale de janvier a décembre vie de vandale accumule que des cendres passe le ballon le poto met des centres abriter les têtes et remplir tout les ventres we ced ne parle que d'ça galon bras long raf de ça chef ou patron on veut pas d'ça nous c la d on vit que d'ça

est ce que tu t’lève toujours aussi tard laisse les gens hébétés dans ton sillage amer béton c'est ton préféré et tu sais négocier les gros virages tu sais t’égosiller pour la bonne cause sans toi j'fume clope sur clope j'ai l’cœur et les poumons bousilles plus de camarade plus de souci et sur l'asphalte j’ai brule mes coussinets car j'ai marche seul sans mes souliers j’préférais la douleur aux faux semblants mais j'ai vu l'espoir quand tu souriais j'en garde un souvenir collant comme la résine jamais dans l’amnésie grâce a l’écran magique ton image grave sur ma rétine quand tu es loin comme un mirage on ira péter des vitres essayer d'enfoncer les portes on aura que c'qu'on sera prendre toujours trop attache au mérite toujours trop attache a mes tords les jours sont des années c'est terrible il reste que toi peu importe le décor et le feu rougeoie dans un nouveau défi on gagnera pas malgré nos efforts les écoute pas on continue d'y croire dans un cadre en ivoire la vie si dérisoire j'balance mes jugements a la trappe avec ton image en tête et quand j’suis seul tout dans l’appart j’regarde mon tel je pense a toi le cœur qui gèle le cœur qui bat j'regarde le ciel tu n'y es pas y a que l’écran qui me regarde j'ai plus d’nouvelles de toi des autres et c'est toujours la même rengaine we on fait rien a qui la faute on aimerais bien tuer la peine la vie s’écoule en goutte de doute j’espère toujours calmer ma haine mais j’vois cette foule qui me dégoute et j’rêve toujours d’cramer l’arène yeh yeh ni reine ni roi we que des ami e s dis moi il reste quoi le jours ou les amies s’détestent? dans ma puce c'est un cimetière qui crie pourquoi t’étais si fier pense au poto y a rien faire seul les photos garde la lumière ces images mont condamne elle défile sous sous mes doigts sans s’arrêter tout c'qu'il t'laisse de tactile la ville est vide la vie fragile tes pas solide tes comme achille c'est elle ou il ça annihile tout est aride j'ressens nihil j'voulais juste me souvenir qu'on pouvait se soutenir sous les tirs mais qui voyait les coups venir? c'qui nous relie nous sépare nous ébloui we on s’égare javais d’ l’espoir au départ mais rien n'est vrai tout est pouvoir

euros pesos yuan dollar c'qui faut pas faire pour les avoir le superflu ou l’essentiel j’sais plus lequel me brule les ailes euros pesos yuan dollar j'vois un nombre dans le miroir et malgré ça la vie est belle we malgré ca la vie est belle car après tout la vie s’rebelle yeh yeh yeh raf poto de la thune de la gloire du pouvoir so so jules bonnot smoking gaz appelle moi esso odysseus j’conduis le vaisseau maudit crésus rend nous les euros faut qu'tout l'monde en est plein l'frigo d'un coup d'fronde on éteint l'gyro toujours une lame entre les chicots j'vois des alliées devenir rivaux a bas tout leurs plans verticaux bien qu'au fond d'mon caniveau j'ai lu ton rap de collabo (so genius)si l'pardon existe la haut so jah j'peux pas perso rasta comme max romeo action directe so makhno jet de canette sur le macdo feu de palette usine queblo feuille cigarette bedo j'queblo 1 3 12 ras sur terre vive le chaos j'so pas le so j'sais qu'sans eux ça serait super anti bleu rejoins le réseau

j'fume tout le temps de l'essence et du miel sur quatre temps comme un moteur diesel des crapauds pleurent envahissent le ciel dieu perce ton cœur il te pousse des ailes merle moqueur il te siffle des memes entre amour et haine les humains se démènent si la vie est belle j'veux celle qu'les rupins mènent mate l'univers sous alcaloïde plus d'vie sur terre we y a que des droïdes que des droïdes de la raf on s’organise comme la raf concu compet' j'en ai raf j'allume mon pet et j’attends la f c'est bulldozer contre orang-outan j'voulais m'mettre au vert mais l'bitume s’étend j’attends l’soulèvement des robots des machines mais tout fout l'camp et le temps m'assassine tout doucement et pendant c'temps j'vois qu'des équipes de mouton unanime dans l'parchemin du chanvre indien j'nous croyais copain mais tu barre le chemin et chaque année tu dis rien na changé j’crois qu'c'est de la qu'vient aussi le danger la faim faut manger mais j'ai pas de chagrin j'suis étranger a cette vie des l'matin

tout les jours c'est colère on est bien tout collé moi j'roule que des soper hésite pas a demandé a 3 sur le scooter on est venu tout pillé même pas peur d'avoir peur on est venu pour kiffer houba houba j'suis foncdé sous les basses oula oula les condés font la nasse koopa koopa j'envoie des carapaces l’état aboie quand la caravane passe we j't'ai jugé sur tes comportements tes exploité we le confort te ment ah ced pas de mondanité ftw c'est les modalités j'ride all night sur le bitume c'est mort y a rien y a rien a part les schmitts c'est mort j'die online je joue avec la mort y a rien que l’décor qui me dévore tête dans l'caisson ta perdu 10 db le sub va casser tes os fouteur de merde sur le cv ced dangereux comme la monter des eaux j'sais pas si j'ai peur des autres ou si j'les déteste tous j'veux pas parler quand on est douze tire une latte et j'tousse j'suis trop foncdé quand j'fume le gaz y a que du seum dans ma besace donc j'ai coutoentrelesdents sourire du joker rêve de faire sauter la banque la haine des bleus la haine d'attendre lemon dans la juicy jay lemon dans la volvic capital est content que j’dépense mon fric cœur et poumon bousille j'ai roulé un gros stick lundi lundi avec puzz on a fait un 9 titres

j'caresse cerbère dans le sens du poil ici bas serait l'enfer mais ailleurs c'est quoi caresse cerbère dans le sens du poil ici bas serait l'enfer mais l'inverse c'est toi y a qu'des relous qui m'vident les entrailles des requins des remous dans l'dos des entailles pour un qui s'immole six milliards qui simule ils adulent des idoles les imitent c'est si nul le réconfort dans la petite gélule moi j'en veux pas de la petite vie nulle les amitiés c'est comme pif et hercule tes bloque au quartier y a qu'l'argent qui circule les murs m'isolent murmure des ordres la camisole contient l’désordre pas d’muselière mais t’ose même pas les mordre l'espace le temps on est condamnées j’entends dans l'vent les chants des damnées c'est toi qu'tu vends depuis tant d’années y a plus qu'le sang et les crans d’arrêt tout ces humains plus nombreux qu'les poux la soif la faim et la corde au cou une vie de luttes avec la mort a bout au final j'me dispute pour que tout soit tout doux et ça s'ballade dans les rues dans les chairs tout l'monde la brade la vie est cher